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Position des fédérations et syndicats

Le processus de reconnaissance est sous l’impulsion du Sénateur Michel Forissier, sénateur du Rhône, grâce au soutien du Président Alain Milon, sénateur du Vaucluse et président de la commission des affaires sociales au Sénat. Le député Jean-Louis Touraine, médecin, député du Rhône et secrétaire à la commission des affaires sociales à l'Assemblée Nationale travaille également activement sur ce dossier.

Dans le cadre de ce processus il a été demandé par les parlementaires la création d'un Syndicat professionnel qui sera chargé de dénombrer les praticiens exercent en France et de faire bon nombre de propositions qui s’inscriront progressivement dans les chapitres et articles de loi. Cette proposition de loi sera donc la résultante des besoins et attentes réels de l’ensemble de la profession.

Aux côtés de ce syndicat ont également été crées le Conseil Académique Français de la Médecine Chinoise dont la présidence a été confiée à Eric Marié et un Conseil Déontologique et Ethique dont la présidence a été confiée à Matthias Haby.

Une fédération des étudiants de médecine chinoise et une association d'usagers ont également été créées.

Les deux conseils, la fédération étudiante, l'association des usagers et le syndicat œuvrent sous la responsabilité de Morgane Hanechi qui a été chargée par les Sénateurs d'assurer la coordination des actions à entreprendre.

Il était nécessaire de créer un syndicat indépendant qui soit au-dessus des querelles qui animent les structures existantes depuis des années, sachant que les structures existantes sont invitées à oeuvrer à la concrétisation du processus et ont pour certaines déjà confirmé leur volonté de s'associer à celui-ci. Il était également nécessaire que ce syndicat n'accueille ni écoles ni étudiants en son sein.

La décision de lancer le processus de reconnaissance a été prise par les parlementaires suite à notre réunion au Sénat le 25 novembre 2015 à laquelle ont participé plusieurs praticiens et enseignants et une patiente ainsi que des représentants de l’UFPMC, SIATTEC et OSMC.

Depuis, certaines fédérations françaises se sont pleinement engagées dans la mise en œuvre de ce processus de reconnaissance. Certains membres sont également encore affiliés à leur fédération et pourtant membres actifs du SFMC. Ce n'est pas incompatible, bien au contraire.

Après s’être rendu au Sénat suite à l’invitation du Président Alain Milon à destination de Morgane Hanechi, l'OSMC n’a pas, à ce jour, clairement défini son positionnement par rapport à la démarche en cours.

S’il est établi que les questions posées par l’OSMC sont légitimes, elles sont aujourd’hui prématurées. Quand le temps sera venu (préparation du rédactionnel des chapitres et articles de proposition de loi) nous saurons négocier, à la virgule près, pour l’intérêt de TOUS les praticiens (directement ou via leur représentant de fédération ou syndicat). Chaque chose en son temps, il s’agit d’un projet de grande envergure qui nécessite de construire chaque étape de manière réfléchie tant dans la forme, la manière que le timing. La porte est bien entendu toujours ouverte à l’OSMC pour poser clairement ses interrogations. Nous n'en savons pas plus, pour le moment, quant à l'implication future de l'OSMC dans le processus de reconnaissance.


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